AEDEN ♣ C'était si beau que j'ai fermé les yeux .

Aeden Simba Roumanof
Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir de façon absurde.

also known as Dr Addie

you're good as new

✂ âge : 26 ans
✂ date et lieu de naissance : cinq novembre mille-neuf-cent-quatre-vingt-quatre
✂ statut : célibataire
✂ travail : interne
✂ groupe : internes

knocking now upon your door

Moi c'est spicy mushroom. Le sex symbol sur mon avatar c'est katy perry, et c'est un personnage inventé. Je me dois de remercier tumblr pour l'illustration de ma présentation, et acide édulcoré pour m'avoir fait découvrir Dying on a table. Un dernier mot avant de clore le sujet : superbe magnifique splendide forum .

lost amongst our winnings

« Qu'est-ce que vous me faîtes monsieur de Docteur ? » « Je nettoie ta vilaine plaie ... » « Elle n'est pas vilaine elle est toute rouge . C'est joli le rouge . » « Oui, pour le moment c'est rouge, mais si on laisse ça comme cela ça va devenir tout vert . Tu ne voudrais pas que des mouches viennent sur ton bobo, n'est-ce pas Aeden ? » La petite fille, assise sur le lit d'hôpital, ouvrit grands ses yeux et sa bouche, en poussant un petit cri « Oh non c'est pas beau les mouches ! » . Il rit de ce rire indulgent qu'on réserve aux enfants et commença à désinfecter la fine entaille qu'elle s'était faite ce matin à vélo, avec sa cousine Kiara . Fascinée, elle observa le médecin la soigner. Aeden adorait cet endroit. Les locaux blancs, les anges de la mort ou de la vie qui sauvaient les patients, déjà elle disait que plus tard elle ferait « comme papa » . Il faut dire que son père était le Chef de l'hôpital, aussi avait elle le droit de courir dans les couloirs, de jouer avec les petits malades du troisième étage, d'être soignée pour tout et n'importe quoi . Avec Kiara, elles avaient reçu un petit nécessaire de médecine et s'entraînaient sur le chat, les deux chiens et leur lapin blanc tacheté appelé Gribouille. Les deux petites partageaient tout, aussi brune que l'autre était blonde, elles allaient à la même école primaire, avaient les mêmes jouets, les mêmes animaux de compagnie . Il faut dire qu'elles habitaient à seulement dix minutes de l'autre, dans San Francisco . Alors chaque jour était un prétexte pour se voir et faire les quatre cents coups . En général, Aeden avait les idées et Kiara suivait . La petite blonde essayait souvent de l'empêcher de faire des conneries . Comme de disséquer une branche, de foutre le feu à la niche pour voir « ce que ça faisait », de déguiser le chien en Princesse Raiponce, d'accrocher des guirlandes dans le bureau de son père, etc .

« Cette fois, c'est toi la tête de classe ! » Ricana Aeden alors que le professeur annonçait les résultats des examens de la troisième année. Elles se disputaient la première place à chaque trimestre, et les élèves suivaient de près cette pseudo-compétition. Il faut dire qu'elles étaient véritablement excellentes, et qu'elles adoraient ce qu'elles faisaient . Kiara se moqua gentiment « En même temps, si tu avais passé plus de temps à réviser et moins dans le lit des garçons, tu ne serais pas arrivée seconde mais première ! » . Faussement outrée, la brune donna un grand coup de classeur sur la tête de sa cousine . « Heeey ! Je te ferai dire que j'ai couché avec l'un des examinateurs ! Si tu n'appelles pas ça travailler ! » si elle disait cela en rigolant, tout le monde savait que ce n'était pas une blague . Aeden couchait avec tous les hommes potables de l'université de Stanford, professeurs compris . Une rumeur disait qu'elle avait même réussi à mettre le directeur dans son lit, mais ce n'était qu'une rumeur . La jeune femme donna un coup de coude dans les côtes de Kiara et cette dernière étouffa un petit cri « Outch ! J'essaye d'écouter ce qu'il dit, figure toi ! » . En effet, l'orateur déblatérait depuis maintenant une demi heure sur les bienfaits d'un travail sérieux et régulier « Eh Kiki ! Est-ce que tu sais ce que sont deux blondes qui se tiennent la main ? » « Euh … Je n'en sais rien, des lesbiennes ? » « Non sale quiche, une synapse ! » elle éclata d'un rire franc, et un silence lourd s'installa dans la salle . Tous les regards étaient tournés vers elle . « Mademoiselle Roumanof, pas vous bien entendu Kiara, je m'adresse à celle qui a la bouche ouverte et un air choqué . Mademoiselle, vos excellents résultats ne vous dispense pas d'écouter . » . La jeune femme retint un sourire en repensant à la nuit qu'elle avait passé avec le Docteur Jaysson, hier soir . A dire vrai, elle commençait à s'ennuyer de l'université. Elle avait envie d'aller travailler, enfin, dans un hôpital .

answer to all your fears

Si Aeden peut paraître froide et superficielle aux premiers abords, ce n'est qu'un laissé paraître, un mensonge qu'elle affiche aux yeux de tous par facilité. Car elle est fatiguée, fatiguée de devoir se justifier, d'expliquer le moindre de ses gestes. Depuis le temps qu'on la juge, elle a apprit à vivre avec la désapprobation et le mépris constant des gens qui ne la connaissent pas. Oui, elle est nymphomane, cela ne l'empêche pas d'être fidèle et aimante quand elle est en couple, à condition qu'on lui fasse confiance et qu'on lui laisse une chance. Elle est la preuve concrète qu'on peut vivre sainement, sans drogues ni alcool, et s'amuser du matin jusqu'au soir. D'ailleurs, il est difficile de ne pas rire sans arrêt avec la jeune femme. Exubérante, elle se donne en spectacle sans honte, attirant l'attention sur elle et n'en rougissant pas pour autant. Elle a l'avantage d'être honnête, et vous dira toujours ce qu'elle pense, et ce avec finesse en évitant un maximum de vous blesser. Au final, si vous essayiez d'apprendre à la connaître, vous découvrirez cette femme touchante et fragile qu'elle ne laisse transparaître que très rarement. Aeden est très sensible aux commentaires des autres. Jamais elle ne vous avouera que vous lui avez fais du mal, mais le soir dans son lit elle se blottira sous sa couette, ressassant inlassablement les quelques reproches que vous aurez eu le malheur de lui faire. En effet, elle est très mal dans sa peau. Le regard des autres, elle l'ignore tant bien que mal, de toute façon sa fierté l'empêche de laisser transparaître toute émotion qui ne cadrerait pas avec sa force de caractère. Elle a une peur panique de ne pas être aimée, appréciée pour ce qu'elle est réellement. Cette peur la pousse à s'émanciper de l'amour et de ses désastres, et elle rejette loin d'elle toute relation qui prend des dimensions plus qu'amicale, paniquant à l'idée d'être blessée en s'attachant à une personne et en étant déçue par la suite. La brunette est maniaque et perfectionniste, aussi bien dans son travail que pour l'état de son appartement. Chez elle, tout est rangé à la perfection à une place toute désignée. Elle a une étrange phobie de tout ce qui est sale, et peut être prise de nausée à la vue d'une assiette usée. Le soir, si vous la cherchez, vous la trouverez sûrement en boîte ou à une soirée, en train de danser jusqu'au bout de la nuit avec pour seule carburant son traditionnel jus d'orange : "Avec 1/3 d'eau, une rondelle de citron et 30 cl de grenadine" . Dans les endroits où elle traîne habituellement, ils ont d'ailleurs surnommé cet étrange cocktail l'AEDEN. Elle est très humaine avec ses patients, elle s'attache énormément et va à tous les enterrements si elle en perd un. Certains rient de son nom, un homme a même un jour fais la plaisanterie qu'il voyait le paradis avant même d'être mort et qu'Aeden était le meilleur moyen pour l'amener au septième ciel. La jeune femme s'est construite une réputation qui la poursuit à présent, elle n'a pas été en couple depuis la secondaire, personne ne veut de toute façon sortir avec quelqu'un comme elle . Pourtant elle pense qu'il est temps pour elle de se caser, elle a envie d'être amoureuse, de ressentir le manque et l'attente d'une relation .

lining up to inspect you

« Grand père, reparle nous de la tumeur de quarante kilos que tu avais eu à traiter . Et de la fille à qui tu avais enlevé la moitié du cerveau . » « Du calme, Aeden, ton grand père est vieux et il a besoin de chercher loin dans sa mémoire pour satisfaire ta curiosité . » La grand mère de la fillette arriva en clopinant, une grande assiette de gâteaux dans les bras « Et si vous goûtiez mes cookies avant tout ? » . Elle n'eut pas besoin de le demander de fois que sa petite fille bondissait des genoux de son papi pour attraper un gâteau . Elle en raffolait . Les discussions qu'elle entretenait avec ses aînés tournaient toujours autour de la médecine . Pour le grand plaisir du Dr. Roumanof, qui adorait parler de son ancien métier . Elle était insatiable, sur le sujet, elle adorait les mots compliqués et savants « oedème cérébral » « mérozoïte ». Aeden les prononçait le soir avant de se coucher, certains racontent de jolis contes . Les parents de la petite lui narraient leurs aventures au bloc, lui donnant une multitude de détails qui l'enthousiasmaient . « Il était une fois une bonne grosse tumeur dans le foie d'une dame enceinte » et sa curiosité montait en flèche «Oh oui père castor, rajoutes moi du sang, des anévrismes énormes, des gangrènes et je m'endormirais » . Sur le bord des piscines, elle sauvait les insectes qui avaient le malheur de tomber dans l'eau, avec Kiara. Les deux cousines avaient fondé « L'hôpital Roumanof », une maison de poupée dans laquelle elle mettait les petites bêtes. Seules les araignées étaient laissées là à crever, puisque la petite blonde en avait la phobie. Ainsi avait commencé leur carrière de médecin . Deux anges de la mort, voilà ce qu'elles voulaient devenir .

« Si j'ai eu envie d'être médecin, c'est d'abord à cause de mes parents . J'aimais les écouter parler des malades, ils avaient cette sorte exaltation quand ils mentionnaient les cas de la journée, j'avais envie de ressentir la même chose . Et aussi de pouvoir discuter avec eux. Vraiment . Sur un pied d'égalité . »

« Tu es peut-être première de ton année, mais ce n'est pas assez . » « Merci papa, toujours le mot pour me faire plaisir . » « Tu ne comprends pas, tu ne comprendras jamais, tu n'as pas les épaules pour devenir médecin. En plus, tu es légère, frivole. Ton diplôme ne signifie RIEN à mes yeux, rien du tout . » les larmes aux yeux, je regardais son père, ne comprenant pas pourquoi il s'acharnait ainsi. Pourquoi cette insatisfaction permanente quand il s'agissait de moi ? J'avais toujours fais de mon mieux, j'avais brillé en cours, était entrée à l'université de Stanford sans difficultés, était sortie première de ma promotion, j'avais tout mis en œuvre pour le satisfaire . Mais encore une fois, je me trouvais face à un mur, une barrière infranchissable entre lui et moi. Il pouvait bien jouer les hypocrites à l'hôpital, poser une main affectueuse sur mon épaule, les faux-semblants ne marchaient plus . Je ne comprenais pas, je n'avais plus envie de comprendre . J'allais devenir interne dans un hôpital de renom, j'allais seconder de grands chirurgiens, pourquoi son avis m'importait il autant alors que mon avenir se profilait devant moi, et qu'il promettait d'être grand ? Ma mère, assise sur le canapé, lancé des sourires navrés dans notre direction. Soudain, leur caractère bourgeois m'apparut et me révulsa. Qu'est-ce qu'ils pouvaient m'énerver, avec leurs brushings à la con, leurs chignons, leurs petites manières qu'ils avaient tenté de m'inculquer ! J'étais majeure, je n'avais pas de dettes, j'étais heureuse, s'ils voulaient tout gâcher tant pis pour eux . J'allais couper les ponts définitivement . « Tu sais quoi, papa ? J'en ai rien à foutre . Non, vraiment rien . Je suis excellente, tu m'entends ? Je suis EXCELLENTE, je vais être un excellent médecin, ton avis je m'en fous . Ton avis, il me passe au dessus de la tête . Je n'ai pas besoin de toi, ni de toi maman . Je m'en vais, ce soir . Et j'espère ne jamais vous revoir . Jamais . » furieuse, je fermais la porte du salon et montait les marches quatre à quatre pour aller empaqueter ma valise, mes cours . Cela faisait déjà trop longtemps que je les supportais . Les larmes qui coulaient sur mes joues, je les ignorais, elles n'étaient que la résultante de ma colère, de cette colère qui faisait partie de mon quotidien .

Tous les deux étaient allongés sur un lit . Elle ne connaissait pas son prénom, mais lui connaissait le sien puisqu'il l'avait gémis toute la soirée . « Tu sais Addie, sans sous entendus aucun je pense que tu es bien plus profonde que tu ne l'admets . » « Huum que veux tu dire ? » elle déplia langoureusement les jambes et se redressa pour commencer à s'habiller . « Disons que tu t'es construit une réputation, on te connaît comme étant celle qui couche avec tout le monde . Je suis sure que tu n'es pas QUE ça. Tu es l'une des internes les plus brillantes .... » Elle rit légèrement « Il n'y a pas grand chose à dire de moi, je crois être à l'image de ce que je reflète en société ... » . Il se leva à son tour, nu, et l'embrassa langoureusement . « Racontes moi ce pas grand chose » . Aeden recoiffa ses cheveux avec une brosse qui était posée sur la table de chevet « Ma vie est chiante . Il n'y a rien à dire. » . Cependant, elle reprit « Je suis née à San Francisco. Mon père était Chef de l'hôpital, ma mère une simple infirmière . Je ne sais pas grand chose sur eux, au final . » . Reboutonnant sa chemise, elle poursuivit « Juste qu'ils se sont rencontrés à un gala, cela n'a pas été le coup de foudre mais ils ont entretenu une courte liaison, avant de se marier à la demande du père de ma mère. » elle respira bruyamment et leva les yeux au ciel pour chercher dans ses souvenirs. « Je suis un accident. Ils ne me voulaient pas . J'ai été élevée majoritairement par mes grands parents et je traînais toujours avec ma cousine, Kiara. On a le même âge . » elle remontait son jean et l'attachait autour de sa taille « En fait, mis à part le fait que mes parents ont toujours été des salops avec moi, j'ai eu une enfance heureuse. J'avais des animaux de compagnie, une camarade de jeu, des jouets, un large terrain ou je pouvais courir . C'est en grandissant que les choses se sont compliquées » . Il l'écoutait avec attention, enfin du moins il ne détachait pas ses yeux d'elle, ce qui lui donna envie de continuer « En fait, je n'en faisais jamais assez pour mon père . Alors je me travaillais plus que nécessaire pour qu'il me félicite, qu'il me fasse un compliment. Il était le seul à ne pas voir tout cela. » « Pourquoi cherchais-tu autant à attirer son attention ? » il écoutait toujours. Elle lui adressa un sourire de remerciements « Je ne sais pas … Peut-être que j'avais juste besoin d'amour. Mais en voyant que cela ne marchait pas, je me suis tournée vers d'autres options, je me suis réfugiée dans les bras des hommes que je croisais, au début c'était rare, puis ça c'est fait de plus en plus souvent . Je me suis dégoutée, mais finalement j'ai commencé à y trouver mon compte. Quand tu ne t'attaches pas, tu n'as plus la crainte de ne pas être aimé en retour . » « Ça se tient . Tu n'as jamais été dans une relation durable ?. » Quelles drôles de questions . A présent, elle avait bien plus l'impression de se raconter à elle même son histoire. Quoi qu'il en soit, cette introspection lui faisait du bien « Non. J'en ai peur . » elle réfléchit « Je crois que ce qui m'a décidé définitivement à abandonner l'idée d'être en couple, c'est le jour où j'ai tué un homme. » . L'inconnu racla sa gorge « Excuses moi, tu me dis que tu as tué un homme ? » « Pas au sens propre du terme. Enfin, si. Disons que je l'ai tué accidentellement. C'était un patient, il avait le cancer. Je me suis trop attachée à lui. Et un jour … il m'a demandé de l'euthanasier. Il souffrait trop alors j'ai accepté, mais j'ai regretté dès lors que j'ai fais pénétrer du poison dans ses veines. Je crois que j'étais tombée amoureuse de lui, de son courage, de ses grands yeux verts pleins d'espoir. » elle essuya une larme « Mais cet espoir s'est éteint dans ses yeux, quand son cœur a arrêté de battre . » Elle s'avança vers la porte « Écoute, c'était très sympathique, mais je vais prendre une douche et quand je reviendrais tu ne seras plus là. C'était très agréable, bonne journée ! » . Un dernier baiser, et elle s'en allait sous les douces vapeurs d'eau chaude.

Zeppelin-Lenox Blackfield a écrit:

KATY J'adore, j'adhère, je veux un lien En plus le pseudo :17:
J'exige un lien
Bienvenue et merci pour l'inscription (:

Zeppelin : Je me suis perdue dans ton pseudo Merci beaucoup &' puis un grand OUI pour le lien JGLewitt quoi
Maggie : Laura ? Ma banane flambée
Kapiton : Je te retourne le compliment, Jess elle gère merci (:

Aeden Simba Roumanof a écrit:

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Maggie : Laura ? Ma banane flambée
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Maggie : Oh oui MA PETITE GROSSE QUE J'AIME !
Lou : Merci beaucoup
Logan : FEE CHLOCHETTE ? (Oui, j'ai écris cHlochette ) j'exige un lien sale beau gosse
Bonnie : Oh oui, un lien avec Hermione Granger (aa) . En tant que fan de Harry Potter je ne refuserais jamais ça d'ailleurs, je crois avoir lu ton pv donc j'ai une petite idée

J'ai finis ma fiche

Merci beaucoup