LOGAN-BAPTIST • People always leave.

Logan-Baptist Collins
Je ne vois aucune raison qui me pousse à devenir chirurgien. Mais j’en vois des milliers qui me poussent à abandonner.

also known as Baby Collins ; Loganou ; Lenou.

you're good as new

✂ âge : 24 ans.
✂ date et lieu de naissance : Le quatorze décembre 1986, Seattle.
✂ statut : Célibataire
✂ travail : Interne à l’hôpital afin de devenir Chirurgien thoracique.
✂ groupe : Résident - Interne

lost amongst our winnings

Quand on est en première année de médecine, on prie pour pouvoir passer à la deuxième année, tellement que c'est dur. Chaque jour, il fallait donner le meilleur de toi-même, et ton cerveau avait du mal à s'habituer au rythme. En deuxième année, tu as hâte, hâte de devenir interne, et d'apprendre encore plus de choses, directement sur le tas. Et maintenant que je suis interne, j'ai une vision totalement différente. J'ai toujours cette énorme envie de vouloir aider les personnes, de les sortir de cette misère, en leur enlevant leur maladie, ou en étant juste avec eux, à les soutenir. Mais il faut vraiment être fort, et s'accrocher. Au début, on a du mal à ne pas flancher. C'est douloureux de perdre nos patients, avec qui parfois, on avait eu des liens très forts. Il faut savoir créer dès le début, une barrière entre toi, qui est le médecin, et lui qui est le patient, donc susceptible de mourir. Et c'est ça la chose la plus dur. C'est surement le point négatif de travailler pendant trente heures non-stop dans un hôpital.
Mais avec les peines, se trouvent les joies. Quand une personne nous remercie car nous avons su lui redonner la vie. C'est pour ça que je me bat. Vous ne pouvez pas savoir à quel point, ça fait du bien de rentrer chez sois, et de se dire « Quelqu'un vie grâce à toi. Il respire, il peut être de nouveau heureux avec sa famille, et c'est parce que TU l'as aidé. » C'est vital pour moi de vivre ces moments là. Car quand tu les connais, tu ne peux plus t'arrêter. Tu te bats, pour que cela arrive plus souvent. L'hôpital c'est le lieu le plus triste que je n'ai jamais vu, mais aussi, le plus émouvant, et le plus joyeux.

answer to all your fears

Etudiante en médecine, amie -ou plus- de Logan :

« Lenou ? C'était la crème de mec. Il avait cette lueur provocatrice au fond de son regard, mais dès qu'on le connaissait plus, c'était vraiment un mec bien. Il était vraiment attentionné, et voulait toujours notre bien. Il se préoccupe plus souvent des autres que lui-même. C'est d'ailleurs pour ça qu'il est fait pour être Chirurgien. Il veut tellement que le monde soit parfait, et il veut contribuer à la perfection de ce monde. On peut supposer que ses yeux sont banales : ils sont marrons quoi. Mais ils ont une expression hors du commun. Il vous regarde avec cet air interrogateur, et on a comme l'impression qu'il pénètre en vous, et qu'il vous connait en deux secondes. On se confie très rapidement à lui. Il sait instaurer un climat de confiance, et vous fait parler, jusqu'à ce que vous n'en pouvez plus. Et il vous écoutera toujours, même si votre discussion dure deux heures, il sera là, à côté de vous, et boira chacune de vos paroles. C'est quelqu'un de très ouvert, et de charismatique. Il sait user de son charme, et aucune fille est indifférente à celui-ci. Dès que je trainais avec, chaque femme se retournait sur lui, il dégageait quelque chose de spécial, que je ne saurais vous décrire, même maintenant. Mais Lenou c'est aussi le mec à être très exigeant, des autres, comme de lui même. Il veut toujours réussir, et parfois il est déçu, car il n'est pas inhumain. Il a horreur d'être fatigué, d'être faible. C'est tout lui. Oh et j'oublais : c'est une bête au lit ! J'ai déjà testé, et on ne peut que adorer. Quoi ? Fallait pas que je le dise ? Oups, je m'arrête là alors ! »

lining up to inspect you

Noël deux mille deux, j'avais quatorze ans, et je devais passer les vacances de fin d'année chez mes grand-parents, à Portland. Elles s'annonçaient terrible. J'adorais mon grand-père, c'était une sorte de confident. On se ressemblait énormément, et je passais beaucoup de temps avec lui. Je préparais donc ma valise, afin de passer une semaine avec mes grand-parents. Il y avait deux heures de trajet entre Seattle, ma ville, et Portland, là où j'allais. Mon train était à quinze heures quarante-six. Je partis donc à quinze heures de chez moi, prenant soin de dire au revoir à mes parents. J'étais très autonome comme enfant, alors je pouvais y aller seul à la gare. Je montais dans le train, et voilà que je partais en direction du bonheur. J'allais pouvoir oublier mes problèmes d'adolescent, pour m'amuser pleinement à Portland, c'était ça qui me plaisait.

Arrivé à destination, je saluais mes grand-parents, content de les voir. Ils me conduisirent dans leur maison, spacieuse. Ma grand-mère était parti pour faire quelques courses. Je me retrouvais seul avec mon grand-père, Andrew. Je vous avoue que je ne sais pas comment ça s'est produit, ce qu'il lui est arrivé. Mais ça s'est passé. J'étais parti à l'étage, monter mes affaires dans une des chambres, et je suis redescendu. Mon grand-père gisait sur le sol, en faisait une crise d'épilepsie. Je paniquais, je ne savais que faire, j'ai donc crié « Grand-père, Andrew ! », mais c'était totalement inutile, car en deux minutes, il était devenu inconscient. Je me sentais faible face à cette situation. Je pleurais à présent, j'étais seul, et j'étais déboussolé. C'est plus tard que j'ai appris qu'il avait fait une crise cardiaque par la suite, et qu'on avait rien pu faire, à part essayer un massage cardiaque. J'en été devenu malade, même si on me répétait que ce n'était pas de ma faute. Quand ma grand-mère revint, elle m'avait entendu pleurer, elle s'était donc pressée pour voir ce qu'il se passait, mais elle aussi s'était effondrée quand elle avait vu le corps inerte de son mari. Cette journée à totalement changé ma vie.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

C'est donc après ce jour là que j'ai su ce que je voulais faire. Me sentant coupable de la mort de mon grand-père, je voulais redonner la vie à d'autres personnes. Enfin, leur rendre la vie, être leur sauveur, pouvoir être remercier parce que j'ai pu sauver une personne chère pour eux. Je voulais atténuer la souffrance que j'avais eu en voyant un proche partir, sous mes yeux, impuissant.
Après le lycée, j'ai donc rejoint l'université de Seattle, de médecine. Je savais que ça n'allait pas être facile, mais j'ai rencontré des personnes formidables durant cette année là. On s'est entraidé, et la plupart d'entre nous, sommes passé en seconde année. J'en suis maintenant à ma sixième année de médecine, et plus ça va, plus je deviens accroc à ça. C'est comme une drogue pour moi. Depuis que je suis interne, être de garde durant trente-six heures d'affilées ne me dérange plus. C'est mieux que de l'héroïne même, je vous assure.
Je sais qu'à cause de mon métier, je ne pourrais surement pas avoir une vie de famille, car je serais rarement chez moi. Mais je suis tombé tellement amoureux de mon métier, qe les seules femmes que je vois, font parties de l'hôpital. Ce sont parfois des patientes, des infirmières, des internes comme moi, ou des titulaires. Mais ce sont les seules femmes. J'arrive à un certain âge où on pense quand même qu'il faudrait trouver l'amour, parce que là, ça urge. J'ai vingt-quatre ans, je suis presque titulaire -bon encore trois ans, mais j'ai fait le plus gros !-, et c'est la seule chose qui me manque : l'amour au quotidien, d'un personne que j'aimerais en retour.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

En parlant d'amour, la réponse est oui. Oui j'ai déjà été complètement amoureux d'une fille, et oui j'aurais tout fait pour elle. Mais on m'a toujours dit que les études c'étaient plus important que l'amour. Et vu que j'étais aussi amoureux de mes études, et que cette fille aussi, nous ne sommes pas restés ensemble. C'était Keane, cette fille pour qui j'avais eu le béguin. Elle paraissait si douce et si fragile. Mais elle avait un caractère fort, de garce certainement. Mais elle me plaisait. Elle était en médecine tout comme moi. Je la connaissais depuis que j'avais cinq ans, et nous sommes sortis ensemble, qu'à l'âge de quinze ans. Nous sommes restés trois longues années ensemble, jusqu'à ce que l'université s'empare de nous. Nous nous sommes donc quittés. J'ai connu d'autres relations avec des filles, sans lendemain comme on disait. En médecine c'était surtout ça. J'avais eu du mal à oublier Keane, mais, avec le temps, ça me guérissait, et j'allais de plus en plus voir d'autres filles. Je ne suis pas retombé amoureux depuis elle. Mais je vous avoue que je ne suis pas insensible aux charmes des titulaires, des internes, ou de jolies infirmières. Les deux principales activités des employés à l'hôpital ? Le sexe, et les opérations. Et on s'en aperçoit très vite.

knocking now upon your door

Moi c'est Chloé/Choubidou. Le sex symbol sur mon avatar c'est sexy KEVIN FLAMME, et c'est un personnage totalement inventé. Je me dois de remercier moi (a), et Tumblr pour l'illustration de ma présentation, et Laura, Maggie pour m'avoir fait découvrir Dying on a table. Un dernier mot avant de clore le sujet : J'AI HÂTE DE RPOTTER MON POTE !

devine ça veut dire bienvenue mon chou.