| | | La journée ne fait que commencer. |  |
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Logan-Baptist Collins
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|  Sujet: La journée ne fait que commencer.  Lun 27 Déc - 21:28 | |
|  Six heures vingt du matin : mon réveil sonne. Aujourd'hui je reprenais le boulot. Je dis « reprendre » car hier j'étais en repos. Tandis que là, je devrais bosser trente-six heures, avec deux pauses maximum. Je me réveillais alors doucement, m'étirant lentement. Puis soupirai. J'adorais mon métier, mais je préférais de loin mon lit surement. C'était la seule chose qui pouvait me retenir de bosser. Dix minutes après, je me levais enfin pour aller me doucher, et prendre un petit déjeuner consistant. La bouffe de l'hôpital, c'était pas ce qu'il y avait de meilleur. Alors je me gavais dès le matin. J'enfilais un jean, et un t-shirt sans importance. De toute manière, je portais une blouse, alors, que je sois bien ou mal habillé, peu m'importait, personne ne me verrait avec. Je pris les clefs de ma voiture, et parti en direction de Seattle Grace Hospital.
Arrivé à destination, je me dirigeais dans le hall, prenant soin de dire bonjour à ceux que je connaissais, et alla dans les vestiaires pour me mettre en tenue. Après cela, je me dirigeais vers le bureau des infirmières, pour voir quel patient j'allais devoir m'occuper durant c'est trente six heures à venir. Je pris mes dossiers, et dessus, était indiqué que l'autre interne qui suivra les mêmes patients que moi... N'était autre qu'Arizona, une grande blonde, plutôt... Super belle, ok. Elle était vraiment, vraiment belle même. Entre nous c'était assez étrange. Je l'adorais, mais en même temps, elle me soulait. On avait déjà couché auparavant ensemble, et je ne savais pas si j'avais des sentiments amoureux envers elle. Mais je n'avais pas spécialement le temps pour me poser la question. J'étudiais les cas de nos patients quand la jeune femme en question, Arizona, l'autre interne, arriva, essoufflée, l'air de dire qu'elle était en retard.
LOGAN • « T'es avec moi pendant trente-six heures. T'as trop de la chance d'être avec le plus beau des internes ! » fis-je en souriant d'un air faussement loveur.
Arizona et moi avions été affecté au dispensaire. Nous devions nous occupé en quelque sorte, des personnes qui venaient ici, car ils avaient peu de moyen pour payer les urgences, ou bien tout simplement, car il n'y avait plus de place dans l'hôpital (cas moins fréquent). Aujourd'hui risquait d'être une journée tranquille.
Dernière édition par Logan-Baptist Collins le Jeu 30 Déc - 21:26, édité 1 fois | |
| | | | Arizona-Blum G. Douglas
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| | Sujet: Re: La journée ne fait que commencer. Jeu 30 Déc - 1:00 | |
|  © tumblr.Logan & Arizona. Il était trois heures du matin et je n’arrivais pas à dormir, du moins plus. Pourquoi j’étais réveillée ? Oh c’est simple comme dire « bonjour » : un cauchemar. Bon d’accord, c’est pas si simple que ça. Des cauchemars, encore des cauchemars et toujours des cauchemars. C’est tout le temps le même scénario, toutes les nuits et après on se demande pourquoi je suis accroc à la caféine et à mon boulot ! Je dois l’avouer, j’ai peur de m’endormir. Peur de refaire ce même cauchemar que je n’arrive même pas à développer. Je suis peut être folle, non ? Qui sait ? Il était donc trois heures du matin et j’allais entamer trente-six heures de boulot intensives dès mon arrivée à l’hôpital qui était prévue dans … quatre heures, tout au moins. Que pouvais-je faire ? Bien sûr, il était exclu que je dorme. Pour cauchemarder ? Ah ça, non merci ! J’ai donc allumé ma télévision. Je m’en servais très rarement étant donné que j’étais très souvent au boulot. J’ai donc regarder un film. Nul. Bon il faut l’avouer, à trois heures du mat’, y a jamais grand-chose sur les chaînes. M’ennuyant à mourir, j’ai donc pris l’initiative de cuisiner des viennoiseries, des muffins pour être précise. Tellement prise dans ce que j’entreprenais, j’en ai carrément oublié l’heure. Bon, j’avais fait trois fournées de trente muffins - je vous laisse faire le calcul - et je suis partie en vitesse, pour me changer et me préparer. Bon ça allait, j’avais encore du temps devant moi pour rejoindre l’hôpital.
Je suis arrivée au Seattle Grace Hospital à l’heure. Heureusement pour moi, il n’y avait pas grand monde sur les routes et j’avais traversé la ville à bord de mon véhicule sans le moindre soucis. Comme toujours, je suis passée par le hall et j’ai salué, toute rayonnante, les secrétaires et autres visages connus avant de rejoindre les vestiaires féminins, mon grand panier de muffins dans les bras. Oui, ayant fait trois bonnes grosses fournées, j’ai préféré tout emporter avec moi. De toutes façons, chez moi personne ne les mangerait alors autant que ça serve, non ? Une fois changée, j’ai voulu rejoindre le bureau des infirmières pour savoir où j’allais être transférée pour ces prochaines trente six heures de boulot mais j’en ai été quelque peu empêcher. En effet, à quelques mètres du bureau des infirmières, j’ai été victimes d’un … vole de muffins. Oui, deux affamés de l’hôpital se sont accaparés une bonne grosse partie du panier, à l’origine rempli. Bon bien entendu, c’est fait pour manger, mais quand même : on aurait dit des morfales ! Bref. Là j’étais en retard et essoufflée après avoir couru dans les couloirs. J’ai posé le panier néanmoins rempli - un peu, quoi - sur l’un des bureau et j’ai remarqué Logan. Logan en quelques mots ? Intelligent, sexy, hyper craquant et plus que saoulant ! Oui, étrange. Entre Logan et moi, c’est assez … bizarre, spécial, complexe ? Je dois l’avouer, il nous est arrivé de coucher ensemble mais c’est bien trop étrange. On ne se supporte pas mais en même temps, on … ne peut pas se passer l’un de l’autre. Je l’adore mais suis-je amoureuse ? C’est difficile à dire. Déjà, je ne me suis jamais posée la question et puis il y a Skye. Skye qui est toujours dans ma tête mais que essaye d’oublier peu à peu […] Bref. J’ai lancé un sourire dès plus beau au merveilleux interne que j’avais en face de moi. « T'es avec moi pendant trente-six heures. T'as trop de la chance d'être avec le plus beau des internes ! » N’était-il pas en train de se lancer des fleurs ? Hm… A voir. Bon aujourd’hui, j’étais de bonne humeur et je n’avais pas trop envie de l’embêter, du moins pas pour le moment (a) Je lui ai sourit et j’ai jeté un coup d’œil sur le dossier qui nous été attribuer. Le dispensaire. Ça allait être une journée -très- tranquille. Nous allions rencontré des patients victimes d’angines, de maux de tête ou encore de rhinopharyngites très certainement alors ces prochaines trente six heures allaient être « cool ». « Effectivement, j’ai énormément de chance. Je suis même sûre que vais faire des jalouses. Enfin, moi je serais jalouse si un si bel interne allait partagé ses prochaines trente six heures avec une autre. » Je lui ai lancé un regard amuseur et j’ai sourit reflétant ma merveilleuse humeur de la journée. « Alors, le dispensaire […] La journée promet d’être tranquille. Quoique, nous serons tous les deux alors … peut être qu’il y aura de l’action, qui sait ? » ai-je dis en souriant à sexyLogan.
De l’action. Peut être un bien grand mot. Mais il faut l’avouer que le dispensaire est un endroit assez … silencieux et tranquille. Les gens sourient très rarement et se plaignent mais bon, ça fait parti du métier et je dois avouer que ça me fait passer le temps de les écouter me raconter leur différentes anecdotes. J’en ris même parfois. | |
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