Look at me... I'm useless → JULIETT

Lisobel Juliett Longfellow
Put your eyes on me, and I know a place that we can't get away...

also known as July

you're good as new
✂ âge : 17 ans
✂ date et lieu de naissance : Seattle, le vingt et un juillet.
✂ statut : Célibataire
✂ travail : Etudiante
✂ groupe : Patiente

lost amongst our winnings
Parfois, je me demande s'ils sont vraiment sérieux, à me répéter, jour après jour depuis mon arrivé que je n'avais pas le droit d'aimer. Je n'aimais plus que lui, peu importe la façon dont je suis tombée amoureuse, peu importe qu'il soit bon ou mauvais, on m'a toujours dit que l'amour vous tombait dessus sans prévenir. Ce n'est pas l'un de ses médecins en blouse blanche qui va me dire ce que je dois faire ! Les sentiments, ça ne se contrôlent pas, et le fait d'avoir des sentiments ne peut être l'une des raisons qui fait que je dois rester à l'hôpital. Je me suis fait opéré pour qu'on retire la balle qui s'est logé dans mon sternum. Et depuis, je souffre. Il y a carrément un interne qui m'a dit que c'était la faute de celui que j'aime, et que j'étais complètement barrée. Mais qu'il aille se faire foutre ! Bref, tout le monde peut le deviner, l'hôpital, pour moi, c'est l'enfer sur terre. Enfin, seulement celui ci je pense. Surement la situation aussi... Mon seul désir est d'en sortir, mais, étant donné qu'on m'a opéré il y a trois jours, et qu'il me disent psychologiquement inadapté à reprendre toute vie sociale, je suis certaine de rester ici plus de 3 mois ! Super non ? Au moins, grâce à ça, je suis devenue une pro du sarcasme.

answer to all your fears
Il parait que je n'ai pas du tout confiance en moi. Que durant toute mon enfance, je suis restée en retrait, même si j'avais une âme autoritaire à la maison. J'ai toujours eu peur de faire une gaffe en public, d'être jugée, d'être détestée... Donc je restais la jolie petite Juliett, bien en retrait et qui riait à chaque blagues, même les moins drôles. Les garçons étaient de simple amis, jamais je ne fut apprécié pour ce que j'étais, jamais personne ne chercha à faire ressortir la vraie Juliett, en quelque sorte... Ce dont j'ai toujours été pro, c'est pour mentir. Jamais mes parents n'ont su qu'a chaque fois qu'il y avait une soirée, j'étais de la partie, eux croyant naïvement que j'allais à l'une des nombreuses pyjamas parties de mes pseudo-amies. Comme cela, je pouvais prendre de la drogue ( qu'une fois par mois !), boire et/ou fumer sans qu'il n'en sache rien ! Je dépense énormément en vêtements. J'adore la mode, j'aime particulièrement les robes, mais aussi les jupes, et les jean's. Je ne sors jamais sans boucles d'oreilles ou alors, sans bagues au doigt. Il me faut un accessoire sur moi, sinon, je me sens mal. Mais malgré mes dépenses, je suis généreuse. Dès qu’il y a un mendiant dans la rue, je dépose un billet de 5 dans son chapeau. Je partage tout ! Je déteste les personnes avare de leur personne et peu humble. Elles me sortent par les yeux, c’est…Physique ! Je suis très gourmande aussi, mais je fais de la natation pour perdre les kilos que je prends en mangeant du chocolat.

lining up to inspect you
1993 - Je n'étais rien. Absolument rien, qu'un petit spermatozoïde de rien du tout !Et qui sait combien j'étais perdu au mieux de toutes ses brutes lors de la grande course, mais allez savoir comment, j'ai réussi à la gagner cette grande course ! Mais je n'étais pas toute seule, nous étions deux. Un garçon s'était incrusté dans l'énorme boule, rien que pour m'embêter ! Et vous savez quoi ? Au départ, je n'étais rien, mais maintenant, je suis un tout, c'est pas génial ?! Alors j'ai grandi, grandi dans le ventre de ma maman ( il parait qu'il faut l'appeler comme ça, alors je le fait ! ) mais ça s'est pas très bien passé pour le garçon. Il ne riait plus avec moi, il ne tournait plus dans tout les sens, et j'étais inquiète, je ne l'entendais plus alors qu'on devait sortir ! J'avais très très peur quand moi aussi, j'ai du sortir, parce que ma pauvre petite est sorti, mais c'est tout ! Mes bras et le reste ne voulait pas passer ! Mais maman a poussé un peu et j'étais libre, donc, qu'est-ce que j'ai fais ? J'ai hurlé pour leur dire que j'avais froid, et puis qu'elle aurait pu se dépêcher un peu ! Et surtout pour le pire ! Mon copain, eh bien, il ne bougeai plus !!!!! Ça m'inquiétait ! Mais pour le moment, on me retire tout ce truc rouge dégoutant qui est sur moi, et on me fait des tests bizarres. Je croyais qu'il fallait gagner la course et faire dodo tout le temps après ! Mais le monsieur, il est rigolo, il me fait des chatouilles avec ses mains froides !

1997 - Finalement, mon copain du ventre, eh bien, il n'est toujours pas là. Maman m'a dit qu'il était mon frère, et qu'il le restera toujours. Il se serait appelé Jude. Moi, je m'appelle Lisobel et j'ai 4 ans et je suis amoureuse de Will, il est très beau ! J'adore dessiner, même si c'est pas aussi beau que les dessins de maman, bien sûr ! Ma meilleure copine s'appelle Lola. Mais maman ne veut plus que je la revoille. Il parait qu'elle et sa famille n'a pas été gentille ! Moi, je ne crois pas maman, Lola c'est ma meilleure amie pour la vie ! Je l'adore ma Lola, et ça, c'est pour la vie !

2009 - Je crois que je suis amoureuse. En faite, je ne crois pas: Je le sais. Je ne sais pas, c'est étrange, j'ai le teint plus beau, je me trouve jolie, je me sens heureuse comme jamais s'est arrivé ! Son seul nom me rempli de frissons: 6 lettres, 3 consonnes, 3 voyelles et 2 syllabes. Mon cœur ne bat qu’au rythme de ce doux prénom. Julian. J’en étais amoureuse. De lui, de son tout. La vie sans lui ? Elle me paraîtrait fade, triste et sans intérêt. Mais, évidemment, il ne le sais pas et ne le saura jamais. Je n'ai aucune chance. Lyssae me dit que c'est faux. Elle peut parler, pour elle, c'est si facile, les garçons lui courent après !

Quelques mois plus tard - Je me suis disputée avec Lyss' parce qu'elle a accepté de sortir avec Julian. Mon Julian. Elle dit que ce n'est pas le mien et que ça ne l'a jamais été. C'est vrai. Maintenant, c'est son Julian...

2010 - Je ne retrouve pas mon IPhone. Sans rire, je l’ai utilisé ce matin pour vérifier l’horaire de mon bus, et depuis, je ne sais pas où il est passé. Lyssae ne l’a pas vu, et j’ai beau retourner les couettes dans tout les sens, je ne le retrouve pas… « Lyss', tu peux m’appeler s’il te plais ? - Pas de soucis ma belle ! » Quelques secondes plus tard, j’entend « Bring me to life » chanter dans toute le loft. Je cours dans la salle de bain, soupire, et le rattrape de justesse du lavabo. J’ai toujours été trop tête en l’air pour mon bien. J’entend ma meilleure amie rire avant de coiffer mes cheveux en arrière et de mettre rapidement le téléphone dans ma poche droite, et ma carte de bus dans la poche gauche. Enfin prête, je partais vers mon lycée, sans Lyssae, car elle s'est trouvée du travail en tant que mannequin cet été ! Ce n'était pas étonnant, elle est si belle ! C’était étrange de partir sans elle, c’était la première fois que nous étions séparées. Je n'étais pas vraiment comme une amie. Plus une copine, on restait pres l'une de l'autre car elle m'apportait la popularité, et elle restait avec moi car elle n'aurait parsonne d'autre sinon. J'avais emménager chez elle l'année dernière, lorsque mes parents sont partis à New York alors que je voulais rester à Seattle. Les parents de Lyssae n'étaient jamais là donc nous vivions à deux, sur les milliards de ses parents. Malgré tout, elle allait me manquer. Surtout son éternel humour. D’ailleurs, elle ne manqua pas d’en faire pour me détendre lorsqu’elle me souhaita bonne chance. « Tu vas tous les impressionner avec tes talents d’oratrice, ma belle. C’est vrai, tu aimes tellement te montrer en public, pendant que je me cache derrière toi, comme une petite fille que je suis ! » Elle me fit sourire: Je suis tout sauf extravertie. Timide, c’est l’un de mes plus grands défauts. Elle reprit plus sérieusement: « Non, à vrai dire, je te plais, toi et ta pauvre petite vie universitaire simple. C’est un peu trop répétitif, ma belle ! » Je lui frappais gentiment la tête avant de la serrer dans mes bras et de partir rapidement. En attendant le bus, je passais quelques minutes sur Facebook grâce à mon cellulaire. Que celui qui a inventé cet engin soit béni, moi je vous le dis ! Quand mon moyen de transport arriva, je m’installais et attendis l’arrivée à mon arrêt. Au bout de 8 arrêts, je descendais et marchais quelques minutes avant de pénétrer dans l’établissement: Grand, presque majestueux, je m’y sentais déjà chez moi. Ca faisait deux ans que j’y étais, je débutais ma troisième année, et en tout, je devais y rester encore un an. Malgré tout, le doyen ne se débarrassait pas de cette sale habitude de nous appeler chacun notre tour en fonction des classes dans lesquelles nous étions. Il trouvait cela convivial, mon œil ! Ca allait bientôt commencer, j’allais dans la salle polyvalente, et je rejoignais mon groupe de fille en souriant. Puis, le directeur s’emparra du micro et commença. « Troisième année de Littérature ancienne… Troisième année d’Arts… Troisième année de Lettres Modernes… » Nous savions pourtant qui ils avaient dans notre classe, il commença l’appel: « Juliana Applegate; Sophia Bellany… » Lorsqu’il arriva à mon nom, je m’avançais d’avance: « Lisobel, pardon, Juliett Longfellow » Et tout recommença comme avant... Les cours, les mêmes élèves, les mêmes discours... J'avais bien repris le cursus scolaire !

Le soir, je passais à la banque déposer un chèque de mes parents, banale, comme activité, non ? Sauf que... Dans ma vie, il y a toujours des sauf ! Des bandits avec des collants, oui, sans rire, j'ai touché donc j'ai reconnu ! Des collants et des Rays-bans sur la tête ! Mais un flingue qui faisait très Hollywoodien. Donc, comme dans les films, je me mets à terre. Lorsque l'un deux s'approche de moi, mon souffle se coupe. Je reconnais la délicieuse odeur de ce garçon, vu que j'en ai rêve depuis des années: Julian. Je me relève brusquement et me fait tirer dessus. Par lui. Il a prit peur et PAN ! Ce n'est pas sa faute, je me suis relevé si vite qu'il a eu peur, il savait que c'était moi ! Et puis, plus rien...

J'entend les mêmes trucs que dans Grey's Anatomy, mais le mec qui me regarde n'est pas aussi sexy que le docteur Karev... J'ai l'impression d'avoir pris trop héroïne... Wahouuu, il y a pleins de sang sur mon chemisier, gore !!! C'est marrant ! A non, c'est plus si marrant, je regarde mon ventre, et j'entre dans une salle peu éclairé, on me met un masque sur la bouche et puis, je m'endors... Un mouton, deux mou...

Je suis pas dans mon lit, étrange et... Aille ! Mon ventre ! enfin, j'ai mal entre les seins. Peu commun ! Il y a mes parents... Ils sont pas à New York normalement ?! Ma mère me serre dans ses bras et je gémis de douleur. Alors comme ça on m'a tiré dessus... Elle m'appelle encore July, et j'éclate de rire: Comme je suis née au mois de Juillet, mon parrain me surnommait July, et certaines personnes ont gardés l'habitude. C'est pas que j'aime bien mais il y a pire je trouve !

Ce mec en blouse blanche va-t-il se la fermer ?! Non, je ne porterais pas plainte contre Julian, merde ! Et j'ai pas ce petit syndrome de Stockholm ! Même pas un petit peu, je l'ai pas tout cours ! Lyssae n'en revient pas, et elle panique. Elle croit que j'ai une hémorragie cérébral pour être aussi "conne" d'après elle ! Mais elle s'est regardée ! Je lui rappelle que c'est son ex, et que si je témoigne, c'est perpétuité pour lui ! Je l'aime trop pour qu'il subisse ça, pauvre Julian ! En plus, j'ai envie d'une cigarette, et on me dit que c'est pas bon pour mon sternum... Mais qu'est-ce qu'ils en savent ? Je ne décide plus de rien, mais heureusement, j'ai fais une grande crise à mon psychiatre pour que mes parents rentrent à New York et me laisse tranquille... Mais franchement, pourquoi ne me laissent-ils pas en paix rentrer chez moi ?! JE VAIS BIEN ! Peut importe ce qu'ils disent...

knocking now upon your door
Moi c'est .saeva. Le sex symbol sur mon avatar c'est Kathryn Prescott, et c'est un personnage inventé. Je me dois de remercier TUMBLR pour l'illustration de ma présentation, et bazzart pour m'avoir fait découvrir Dying on a table. Un dernier mot avant de clore le sujet : Love you ♥.