S. Baker ϟ Don't look at me like that...

prénoms/nom, au choix.

also known as Simon Baker

Trente-trois ans - Célibataire - Oncologue

once upon a time

L’histoire est libre. Je donne juste quelques indications à suivre : -X est né à Seattle et n’a jamais voulu ou trouver la force de quitter sa ville natale ϟ Il à décide de devenir oncologue à la suite du décès de sa fiancée qui est morte d’un cancer du sein, il y a plus de dix ans. Il n’a jamais digérer sa mort surtout face à l’incompétence et au manque de sérieux des médecins qui l’entouraient jour après jour ϟ X est en ce moment dans une relation très complexe avec une jeune femme qui est interne. Pourtant, il se considère toujours comme célibataire malgré sa "pseudo" relation. Personne n’est au courant de cette histoire, et il est tout à fait satisfait de cette situation ϟ Il est loin d’être un petit nouveau dans l’hôpital. Beaucoup de gens le connaissent grâce à son talent et surtout à sa façon si particulière d’être avec les patients ϟ Il vient de recevoir le dossier d’une nouvelle patiente pour un traitement expérimental. Cette jeune femme va certainement lui rappeler de mauvais souvenir, comme les plus beaux de sa vie. Elle sera sans doute l'un des plus grand défi de sa carrière et surtout un fruit défendu...

you changed my life

Bonnie "Bones" Sweaftons Chapitre I, la rencontre. « Bonjour, je serais votre nouveau médecin durant la totalité de votre traitement expérimental. » Encore un nouveau médecin qui allait me rendre visite tous les jours de ma minable existence dans cette chambre que je connaissais beaucoup trop à mon goût. C’était ma nouvelle maison, alors j’essayais de rendre les lieux plus coloré avec un minimum de vie, même si je trouvais le résultat complètement pitoyable. Ma chambre me manquait horriblement comme le reste de ma demeure, d’ailleurs. Je n’avais même pas levé la tête vers cet inconnu qui deviendrait sans doute une personne importante durant mes traitements. J’en avais assez de me rendre compte que rien ne changer dans cet hôpital de malheur. Toujours les même histoires avec les mêmes personnes. Les bonnes rumeurs se faisaient tellement rares de nos jours. Je sentais quelques regards sur moi ce qui ne me dérangeait absolument pas, pour ensuite sentir un souffle chaud qui frôlait mon visage. En levant mes yeux, je me rendais compte que ce médecin se trouvait à mes côtés en me souriant bêtement comme un imbécile qui n’avait jamais vu une cancéreuse de sa vie. « Recommençons, je suis ton nouveau médecin. Et je suis très heureux de te rencontrer. » Il tendait sa main vers moi afin que je lui donne la mienne et à ma grande surprise, je l’avais fait sans vraiment comprendre pourquoi, vu cette mise en scène complètement débile. Je m’attendais certainement à une poignée de main comme pour les autres médecins qui avaient eu beaucoup plus de mal à me faire sortir ma main de mes couvertures. Cependant, il approchait ma main de ses lèvres afin d’y déposer un baiser doux, chaleureux et si agréable. Était-ce autoriser dans le protocole ? Je n’avais pu m’empêcher de rire face à ce médecin pas vraiment comme les autres et finalement, il me plaisait bien. En même temps, ce n’était pas difficile. En n’y regardant de plus près, il était vraiment loin d’être le plus laid des médecins qui trainaient dans les couloirs de cet hôpital. « Moi c’est X. Et d’après ton dossier, tu es Bonnie, c’est bien ça ? » Généralement, j’aurais balancé un petit : « Oui, bravo tu sais lire ! » Mais j’avais simplement souri en attendant son prénom et en le corrigeant très poliment. « On m’appelle Bones. » Il me rendait mon sourire en partant en direction de la porte de ma chambre en me disant qu’il reviendrait très vite. Oui, je pensais réellement que ce n’était pas un homme comme les autres … Chapitre II, l’attachement. « Alors, qu’est ce que tu comptes faire aujourd’hui ? » On se tutoyait. C’était certainement la première fois qu’un médecin s’autorisait un tel comportement avec moi. Je me sentais plus humaine en sa présence. Quelque part, il me faisait oublier ma maladie et m’occupait dès qu’il avait le temps. Des fois, je me demandais comment il pouvait en savoir autant sur moi, sans poser la moindre question. Il savait ce que je pouvais ressentir, et même deviner mes pensées sans aucuns indices. Évidemment, je n’étais pas sa première patiente, mais je trouvais cela très étrange comme s’il avait déjà vécu cette expérience non pas en tant que médecin, mais personne. « Absolument rien, comme d’habitude. » Il stoppa net la lecture de mon dossier en me rendant avec des yeux de chien battus ce qui me faisait tellement rire. « Tu pourrais te promener dans les couloirs pour me raconter les dernières rumeurs qui courent. » Je n’avais plus l’impression d’être à l’hôpital, ni même dans ce lit pendant quelques instants grâce à cette conversation si simple et pourtant si humaine qui me rendait moins maussade face à mon cancer. Nous étions devenus très proche comme beaucoup de gens avaient pu le constater. En même temps, je ne voyais pas le mal vu que c’était mon médecine et qu’il adorait me taquiner voir même me raconter des histoires très personnelles comme pour me montrer que la vie en dehors de l’hôpital n’est vraiment pas mieux. « Si, je te dis que ta relation avec ta copine secrète était en péril, qu’est ce que tu dirais ? » Je savais tout, même les trucs les plus improbables. Il me regarda avec stupéfaction avant de me sourire face à mon intelligence hors du commun. A vrai dire, j’étais la seule à les soupçonnés vu que je les avais vu ensemble etc… En tout cas, j’avais bel et bien raison. « Il ne faut rien dire. » Je ne savais pas pourquoi il souhaitait garder cette histoire secrète mais qu’importe, je garderais le secret. En même temps, j’étais sûre de m’amuser vu que cette interne était souvent à mon chevet …