e.m.g. | you caught me off guards.

Edison Morgan Gallagher
with everything, I won't let this go

also known as Dr. Di

you're good as new

✂ âge : 31 ans.
✂ date et lieu de naissance : 26 septembre à Yachats, Oregon.
✂ statut : Célibataire.
✂ travail : Gynécologue-Obstétricien.
✂ groupe : Médecins titulaires

lost amongst our winnings

Les hôpitaux ne m’ont jamais fait peur. Lorsque j’étais tout gosse et que j’y étais entré à cause d’un accident de vélo où je m’étais bien amoché la jambe – pour ne pas dire casser – je trouvais que ça sentait le clou de girofle. Certes, du haut de mes sept ans, la seule association que je pouvais faire avec cette odeur se résumait à quelqu’un quelque part faisait un gâteau. Avant de commencer mon internat, je n’avais jamais connu la mort et la souffrance entre les murs immaculés du bâtiment. Mes quatre grands-parents sont toujours en vie et en pleine santé, je n’ai jamais eu à subir le décès d’un ami ou d’un parent. Rien. Je me trouvais chanceux, jusqu’à ce qu’une journée incroyablement merdique me fi perdre quatre patients en moins de trois heures d’intervalle : mauvais souvenir de l’urgence. Sinon, l’hôpital n’est que mon environnement de travail et où la plupart de mes amis travaillent. Certes, il s’agit d’un endroit exaltant qui bouge, évolue sans arrêt, n’est jamais pareil du jour au lendemain, ou une compétition « saine » demeure et où l’on s’efforce de changer la vie des autres – alors que nous, employés, sommes visiblement incapables de changer la notre. N’empêche, je ne changerais de vie pour rien au monde, ou presque.

answer to all your fears

° Lorsque je suis nerveux, il m’est impossible de prononcer le moindre mot.
° J’ai la faculté incroyable d’attirer toujours sur moi les situations les plus… cocasses.
° Je ne bois pratiquement jamais d’alcool ; ça ne me fait tout simplement pas.
° J’ai longuement pensé à être un chef cuisinier lorsque j’étais adolescent, j’étais plus que compétent.
° Chez moi, pratiquement rien n’a de place à proprement dit. Je ferme les placards en vitesse pour empêcher que le tout foute le camp sur le sol.
° J’ai la fâcheuse tendance à remettre au lendemain les nombreuses réparations que ma voiture aurait franchement besoin. Je préfère me déplacer à vélo que dans l’horrible tas de ferraille qui sert de décoration abstraite devant chez moi. Au moins, ça me permet de garder la forme.
° J’ai une écriture horriblement illisible. Les gens qui travaillent avec moi s’y habituent peu à peu, mais je dois souvent déchiffrer pour les nouveaux ce que j’ai griffonné à la va-vite.
° J’écoute toujours la même chanson à répétition lorsque je fais du vélo et je ne m’en rends jamais compte.
° Je ne peux passez une journée sans manger ou boire quelque chose à la cerise.
° Je crois être le seul docteur qui ne carbure pas au café dans tout cet hôpital, préférant mille fois plus le thé.
° Je déteste avoir à faire aux maris jaloux de mes patientes.
° Depuis mon internat, je tiens à jour un cahier des questions les plus étranges ou farfelues que mes patients m’ont demandé. Je possède quatre cahiers remplis et je suis presque arrivé à la fin du cinquième.
° Je suis fondamentalement incapable de faire vivre des plantes ou des poissons rouges. J’ai déjà réussi à tuer un cactus.
° Toutes les plantes chez moi sont, donc, en plastiques.
° Je suis le genre d’homme à vouloir se faire pardonner lorsque je me plante royalement.
° J’aime chanter sous la douche.
° Je chante comme une casserole, donc je le fais qu’en privé.
° Je n’ai jamais vraiment eu de relation durable. Je m’arrangeais toujours par les faire foirer sans le vouloir dans des situations, pour la plupart, plus que ridicules.
° Je possède autant de livres de cuisine que de livres médicaux dans ma bibliothèque.
° Quand je ne suis pas à l’hôpital, je passe le plus clair de mon temps à cuisiner ou à dormir.
° Je suis imbattable lorsqu’il s’agit de faire un repas italien ou japonais.
° Je ne suis jamais sorti du pays, en fait, je n’ai jamais été plus bas que Redding en Californie ni plus haut que Seattle dans l’état de Washington. Au centre se trouve l’Oregon, mon état natal.
° J’adore jouer au poker, mais je ne joue jamais à l’argent puisque je me ferais liquider sur le champ.
° Je ne sais pas comment fonctionne une cafetière. C’est en partie pourquoi je ne bois pas de café.
° Je ne lis jamais les instructions lorsque je me procure un nouvel objet. Je suis du genre à « essayer » et si ça ne marche pas, il va prendre la poussière quelque part dans ma maison.

knocking now upon your door

Moi c'est dey. Le sex symbol sur mon avatar c'est jake gyllenhaal, et c'est un personnage inventé par un membre. Je me dois de remercier dirty rain pour l'illustration de ma présentation, et mélie pour m'avoir fait découvrir Dying on a table. Un dernier mot avant de clore le sujet : J'espère que ma présentation ne vous a pas trop ennuyer. Si tel est le cas, désolé. Sinon, heureuse de vous avoir divertis. xD .

lining up to inspect you

« Je te jure, je ne sais pas ce que les femmes enceintes ont aujourd’hui, mais j’en ai marre de me faire biper… Tu vois ? Encore ! Je peux pas avoir la paix ?
- Mais arrête. T’es parano.
- Elles veulent toutes ma mort. Toi aussi d’ailleurs tu fais partie de la conspiration. J’ai passé mon quota d’utérus frustrés, aujourd’hui. Y’en a marre.
- C’était à toi de prendre une autre spécialité.
- Blahblahblah ! »

Je la fixai, complètement découragé, en lui piquant un petit morceau de sa tablette de chocolat. Je n’avais même pas encore eu le temps d’aller déjeuner et nous approchions dangereusement du dîner. J’avais l’estomac dans les talons et je donnerais n’importe quoi pour pouvoir m’asseoir tranquillement à la cafétéria en avalant quelque chose de plus consistant que ce que j’arrivais à piquer à Sienna. Je m’appuyai lâchement sur le bureau du centre des infirmiers de l’étage et je fixai sans motivation la fiche d’une patiente posée devant moi en mâchant sans grande conviction le morceau de chocolat. Aujourd’hui n’était tout simplement pas une bonne journée.

« Bientôt terminé, toi ?
- Ma journée ?
- Oui ?
- Euuh... Quelques patients encore et je quitte.
- Je t’envie. On échange ?
- Y’a pas quelqu’un qui pourrait m’aider à trouver le Docteur Gallagher ? »

Le ton énervé de l’homme me fit soupirer bruyamment. Je décochai l’un de ses regards à Sissi, le genre qui la faisait mourir de rire lorsque j’avais atteint le maximum, et lui fit une légère grimace de dégoût que pour en rajouter. Tout ça, que pour mon bon plaisir. Ressortant mon visage de docteur patient et joyeux, je me retournais lentement vers l’homme déplaisant. Et, pour l’une des premières fois de ma vie : je me sentis petit. Ridiculement petit. Je n’étais, certes, pas le plus grand homme de la Terre, plusieurs me dépassaient aisément d’à peine quelques centimètres, mais lui, lui, était dans une tout autre catégorie. Je crois bien que je lui atteignais à peine l’épaule – ciel, où se situait mon amie dans ce cas ! – et, vraiment, il s’agissait de toute une pièce d’homme. Le genre de mec qui passe son temps à s’entraîner et à manger des bébés pour le petit-déjeuner. J’étais un moins que rien, comparé à lui. Lui Goliath et moi David, mais sans l’avantage d’avoir des pierres et du fromage à porter de main.

« Je suis Docteur Gallagher ai-je fini par dire après être revenu de ma surprise. comment puis-je vous aidez, monsieur ..?
- C’est toi qui as touché à ma femme ? »

Il s’approcha de moi – et ‘Pop’ fit ma bulle d’espace personnel – et inclina sa tête et sembla bomber le torse. Tout pour vouloir m’intimider, saleté. Si les yeux pouvaient tuer, je serais en train de mourir très lentement et certainement que je frôlerais une douleur au bord de l’obscène. Je figeai quelque peu, ignorant de ce qu’il voulait bien dire par ‘toucher.’ Évidemment, avec son joli sourire, son ton avenant et ses yeux amicaux, je croyais comprendre ce qu’il voulait que je comprenne. Mes sourcils se froncèrent légèrement sous la question absurde et je rigolais légèrement dû à la nervosité qui s’installait tranquillement en moi.

« Je te défends de rire ! C’est toi qui a touché à ma femme ! Anna Fernandez ! Ce matin, à 10 heures !
- Uh, madame Fernandez est l'une de mes patientes, oui. Encei…
- Alors, avoue ! Tu l’as touché !
- Seulement avec un gant. »

Je détournais la tête vers Sienna, la regardant de la tête aux pieds. Mon expression devait clairement dire : « non, mais ! De quoi je me mêle ? Tu ne vois pas qu’on est occupé et que si tu oses dire le moindre mot, je risque de m’en faire mettre une et ensuite, je me vengerais sur toi » puisqu’elle me rit au nez. Pas le genre de rire désolé, non. Le genre de rire avec lequel on manque d’air tellement on se marre. Ça y est, j’allais la tuer si je ne me faisais pas tuer d’abord. Mon attention fut rapidement ramenée vers le géant qui rageait en face de moi. Il s’était reculé, semblait vraiment confus et au bord de péter un câble.

« Monsieur Fernandez, tentais-je de la calmer. Votre femme est venue se matin pour son examen annuel et pour confirmer ses doutes
- Mais quels doutes !
- Euh… Bah.... Uhm... Qu’elle porte un enfant. J’ai reçu son test sanguin qui le confirmait en débu… Oh, et il n’est pas mien, en passant. Évidemment. »

Tzzzz firent les cellules dans la tête de ce monstre. Son visage tomba, tout comme toute trace d’agressivité. Super, encore une fois, je m’en sortais sans avoir besoin d’appeler la sécurité. Non, mais, il était taré ou quoi ? Ou bien il avait un dédoublement de personnalité puisqu’à peine ai-je eu le temps de battre des paupières que je ne touchais plus le sol et que je ne pouvais plus respirer. Il avait passé ses bras autour de moi – et je soupçonnais que ses mains pouvaient aisément se rejoindre dans son dos – et me serrait contre lui… Par bonheur. Je finis par me remettre de cette autre surprise et le tapotai gentiment dans le dos pour qu’il me libère. Ce qu’il fit. Je repris mon souffle et m’efforçai de lui sourire, tentant oublier que 30 secondes plus tôt, il était prêt à m’arracher la tête et l’ajouter à son prochain petit-déjeuner. Brrrrr.

« Vous pouvez donc retourner chez vous, monsieur Fernandez. Votre femme enceinte de deux mois vous attend. »

Il sourit, aux anges, et me serra la main avant de quitter mon champ de vision. Lentement, je me retournai vers le bureau, tentant d’éviter les regards de Cassey, l’infirmière assise derrière l’ordinateur, et de Sienna. Je gribouillai quelque chose sur un morceau de papier avant de le donner à Cassey.

« Peux-tu arranger le transfert du dossier de ma patiente Anna Fernandez et donne-le à… Docteur Prescott. Merci, je souris machinalement et croisa le regard de Dr Princess sans le vouloir. Toi. Je te hais. Ne m'aide plus jamais. »

Je lui fis un regard faussement fâché, fouilla dans la poche de on saros pour voler son stock de chocolat en plus de celui déjà entamé et me dirigeas vers la chambre du patient qui m’avait bipé quelques minutes plus tôt. Vraiment. Vivement la fin de mon quart de travail.

{ ... }

Noël avait toujours été une journée que j’appréciai. J’adorais passer du temps dans ma famille. Revoir ses oncles, ses tantes, ses cousins, ses cousines et leur conjoint que je voyais qu’une seule fois par an. Nous nous regroupions toujours dans la villa au nord de la Californie de mes grands-parents maternels pour une semaine. Nous y passions Noël et le Jour de l’an, mais avec mon emploi et mon horaire débile, ça faisait déjà quelques années que j’avais dû manquer cette réunion annuelle. Cette année, j’allais enfin pouvoir revoir tous ses gens que j’aimais profondément et que je ne voyais jamais assez souvent à mon avis. C’était donc pourquoi je pris l’avion en direction de Redding, Californie. C’était un court vol intérieur dans un avion pratiquement vide qui me permit de faire le plein d’énergie avant la semaine de fou qui m’attendait. Oui, j’adorais ma famille, mais je les savais aussi très envahissants et enclins à me poser toutes sortes de questions sur mon boulot ou bien ils m’enrôlaient dans toutes sortes d’activités aux alentours. Je les voyais très peu : je n’allais quand même pas passer ma semaine à dormir, manger et végéter devant le poste de télévision, quand même !

Bref, enfin arrivé à dans le petit aéroport, j’esquivai la longue file d’attente de la récupération des bagages, ayant eu la brillante idée de n’avoir qu’un simple sac à dos comme sac de transport que je pus emmener avec moi dans l’appareil. Je me faufilai donc vers la salle d’arrivée où s’agglutinait habituellement famille ou amis des voyageurs : je ne faisais pas exception. Jackson, mon frère aîné, m’attendait tout sourire. Il était mon chauffeur attitré, celui qui allait me conduire à bon port et qui m’en ressortirait également le 2 janvier. Le trajet n’était jamais très long, mon frère était une telle pie que j’arrivais à peine à placer le moindre mot dans la conversation. Il blablatait à propos de sa femme, ses deux enfants, leur chien et même leur poisson rouge. Il parlait et parlait, me posant de courtes questions à propos de mon manque flagrant de vie personnelle puis se gara enfin. Mon sac sur l’épaule, lunettes fumées sur les yeux – masquant ainsi mes cernes – malgré la noirceur imminente, je suivis mon frère jusqu’à ce qu’il ouvrit la porte et signala notre présence à notre famille avec le très joli et incroyablement mature surnom qu’il me donnait depuis la fin de ma résidence :

« Tous ! Le docteur Vagin est enfin parmi nous !
- T’as pas encore fini avec ça, Jack ?
- Arrête. On se voit tellement rarement que j’en profite à fond. C’est tout. »

Ma chère mère vint nous accueillir et passa ses minces bras autour de mon cou, me forçant à me pencher pour être plus à sa hauteur. Je posai une main dans son dos et un baiser sur sa joue avant de me redresser et de lui sourire gentiment. Cette petite femme m’avait toujours supporté dans tout, même dans mon choix de spécialisation. Mon père, ce grand homme bourru et conservateur, n’était pas aussi fier. Lorsqu’il me présentait, ce n’était qu’en tant que « docteur » et lorsqu’on lui demandait en quoi je m’étais spécialisé, il détournait toujours la question en lâchant un commentaire qui laissait croire que j’étais un urgentologue ou bien un généraliste. Il disait tout simplement que je sauvais des vies : ce qui n’est pas sémantiquement un mensonge. Il était très fier que je sois un véritable docteur, il ne fallait pas s’en faire sur ce point, simplement, il aurait préféré que je choisisse une autre branche plus… Viril. Et puis le reste de ma famille était heureuse de pouvoir me poser de petites questions simplettes qui leur permettaient de ne pas s’en faire ou d’aller faire vérifier le tout. Heureusement pour moi, ils se gardaient toujours une petite gêne pour les détails : ils étaient, tout de même, de mon sang.

Bref, suite à notre arrivée, ma mère me guida jusqu’à la chambre que j’allais occuper le temps de mes courtes vacances, puis m’introduit à la salle de séjour où mon cousin – le genre un peu fêler qu’on aime, mais à petite dose – me salua en me lançant pratiquement au visage une bouteille de bière. Nous trinquons – moi et les gens présents – avant que reprenne les conversations de petits groupes, que mon cousin s’évertue à avoir mon attention pour me raconter ses histoires de sa dernière beuverie, que les cuisiniers, engagés pour la soirée, préparent le souper et que l’on se relais tous pour empêcher la propriétaire des lieux de trop abuser du vin. C’était une réunion comme nous en avions l’habitude. Tous vaquaient à prendre les nouvelles des autres, les cousines prenaient des photos et grand-maman invitait tout le monde – moi y compris – à danser un semblant de valse au milieu du salon sur les airs classiques des chansons de Noël. C’était une atmosphère festive qui me manquait assez régulièrement. Certes, j’adorais à mort mon métier, mais il me privait également de la vie de famille qui me manquait cruellement.

Quelques heures après mon arrivée, on nous servit enfin le souper. Ma famille convergea vers la salle à manger, prit place à l’énorme table qui pouvait tous nous accueillir et entama le repas. Des plats classiques, une ambiance classique et une famille classique. Je crois que c’était ce qui me manquait le plus dans ma vie à Seattle : une vie de famille. Quelqu’un à qui revenir le soir – ou le matin, dépendant –, quelqu’un avec qui dîner, la même personne avec qui je m’endormais le soir. Cette personne que je pourrais serrer dans mes bras pour une bonne partie de la nuit, me réveiller le lendemain avec cette même personne, perdre patience avec cette personne pour des broutilles puis, me réconcilier avec cette personne. Simplement, trouvez « cette personne. » Mon frère et mes deux sœurs l’avaient trouvé et avaient même plusieurs enfants. Il ne restait que moi : le benjamin de la famille à la superbe carrière, mais incapable de se trouver du temps pour sortir avec mes amis pour approfondir les relations que j’ai déjà.

Le repas allait de bon train, tout comme la soirée. Je n’avais pris qu’une seule boisson – celle que mon cousin m’avait refilée de force – préférant grandement de bons verres d’eau lorsque je remarquai les joues rougies par l’alcool de ma grand-mère. Ça y était, elle allait assurément nous faire une scène à propos de son premier mari ou elle allait se mettre à chanter à tue-tête les succès incontournables d’Elvis. C’était ce qui se produisait à chaque fois qu’elle échappait à notre surveillance, comme ce soir. Du moins, elle ne refilait pas la honte à personne : son premier mari étant décédé depuis des lustres déjà. J’en souris, légèrement et retourna à la conversation moyennement intéressante de ma sœur cadette et de son mari. Je faisais tache dans cette scène : j’étais le seul qui avait une carrière sur les rails sans conjointe avec qui partager ma vie. Bon, il fallait avouer que je n’avais pas vraiment de ‘vie’ hors de l’hôpital, mais je m’y faisais. J’aimais mon boulot et les gens que je rencontrais – même si parfois, les circonstances étaient assez… ordinaires. Pour tout dire –. Je ris d’un commentaire lancé par mon beau-frère lorsque je sentis une pression sur mon épaule. Je levai mes yeux bleus vers le propriétaire de cette main et je vis ma grand-mère. Ses yeux marron étaient baignés de larmes et son visage était ravagé par l’inquiétude jurant incroyablement avec ses joues rosées par une trop grande consommation d’alcool. Inévitablement, elle avait remarqué quelque chose qui n’était pas « normal » sur sa personne. Hypocondriaque un jour, hypocondriaque toujours.

« Edison…
- Oui ? Qu’est-ce qui ne va pas, mamie ?
- J’ai remarqué une bosse…
- Une bonne ? Est-ce qu’elle vous fait mal, cette bosse ?
- Non, mais c’est assurément quelque chose. À mon âge, c’est obligatoirement quelque chose. Pourrais-tu vérifier, s’il te plaît ?
- Mais bien sûr. Allons dans votre chambre, pour ne pas gêner personne, dis-je gentiment en me levant et en la guidant lentement jusqu’à sa chambre à coucher. Alors, mamie. Où est cette vilaine bosse ? »

Bien évidemment, j’étais retombé dans le mode docteur. Cette femme âgée était ma patiente et moi j’allais l’aider à se calmer. C’était ce que je croyais jusqu’à ce que je vi le pantalon et les sous-vêtements de ma grand-mère tomber devant moi. Ne. Jamais. Prendre. La. Famille. En. Patient. C'est dans des moments comme celui-ci où l'on aimerait avoir une touche « delete » comme pour les ordinateurs pour notre mémoire.

Zut,moi qui voulait être la seule à admirer ton joli postérieur
Je suis nulle j'arrive trois jours en retard pour te souhaiter la bienvenue dis, Tu me pardonnes ?
Encore merci d'avoir pris le scénario & hâte de rp avec toi et tes adorables fesses

Edison M. Gallagher a écrit:

Mais bien entendu que je te pardonne, ô petite puce. tant et aussi longtemps que je me rends la pareille plus tard

Mais il faut aussi que tu laisses la faune féminine s'extasier devant un tel chef-d'œuvre de beauté. Ces fesses sont encore propriété publique... Pour le moment xD

Bon fini le flood et hop à la fiche ! xD

je suis déçue (a) . Mais bon, ce serait égoïste de ne pas permettre à mes comparses féminines d'admirer ce splendide fessier

Tu m'as tuée xD entre le docteur vagin & ta grand mère à poils