❥ Ces plaisirs violents ont des fins violentes.

niels costigan négociable

also known as léonardo dicaprio

33 ans - marié - psychiatre

once upon a time

L'histoire en elle-même est plutôt libre -tout comme le prénom et le nom de famille du personnage- , mais je tiens néanmoins à certaines choses : - Niels est marié depuis près de dix ans à une infirmière de l'hôpital, c'est un fait. Mais Niels est avant tout un mari infidèle. Il aime les femmes, c'est ainsi, c'est comme ça. Il couche donc à droite et à gauche sans jamais ne garder d'attache avec ses conquêtes. Sauf évidemment avec la dernière en liste, une de ses patientes : Lux. C'est un amour violent, traître, et voué à l'échec. Un amour caché aux yeux de tous. Puisqu'elle est sa patiente. Et parce qu'il est, rappelons-le : marié. - Niels est, hormis à part les femmes, un homme sérieux, mais un homme au sang chaud. C'est quelqu'un de paradoxal à ce niveau là : il est sérieux mais part au quart de tour. Il est autant possessif que Lux est jalouse, ce qui fait de leur relation qu'elle est placée sur des charbons ardents. On se demande d'ailleurs quand ils en viendront aux mains. - Pour terminer, le cas de Lux est devenu pour lui une véritable obsession. Pas du côté affectif cette fois-ci mais du côté médical. Il ne comprends pas le fait que personne, même les meilleurs, n'arrive à mettre le doigt sur ce qu'elle a, et surtout le fait qu'elle refuse tout traitement et soit aussi désagréable avec tout le personnel de l'hôpital. Avec lui y compris. - NB : Lux est mourante, personne ne sait ce qu'elle a. Elle est LE mystère médical et tout le monde se l'arrache. Pour en savoir plus sur Lux vous pouvez lire ma fiche ou sa description dans les PV.

you changed my life

« Pourquoi ce refus de suivre un traitement ? » « Parce que vous ne savez même pas ce que j'ai. Comment pouvez-vous me prescrire un quelconque médicament alors que vous n'êtes que des INCAPABLES ?! » Touché. Elle n'avait pas tord quand il y pensait. Mais son travail n'était malheureusement pas de lui donner raison. Il devait comprendre les gens. Comprendre leur façon de penser, leurs envies, leurs peurs. Tout comprendre, toujours comprendre. « Ce refus vient-il de votre enfance, hum … difficile ? » Alors là, il avait bien cru un instant qu'elle allait se jeter sur lui. Mais à son grand soulagement, elle n'en fit rien, se contentant de lui lancer un regard haineux. Il savait. Il était au courant. Rageusement elle tira sur ses manches, dissimulant les cicatrices encore visibles sur son avant-bras. « Je vous emmerde ! » Sans plus attendre de se faire une nouvelle fois insulter par cette petite peste de dix ans sa cadette, il se leva, laissant tomber son fauteuil sur le parquet et contourna son bureau afin de se retrouver à quelques centimètres seulement de son interlocutrice. « Tu peux répéter ? » Par provocation et peut-être même par désir, la jeune femme se redressa en prenant appui sur les accoudoirs de manière à coller ses lèvres sur celles du médecin. « Je vous emmerde. » Puis elle l'embrassa. Fougueusement, violemment, elle l'embrassa. Il plaça une main au bas du dos de sa patiente et la souleva pour la coucher sur le bureau. C'est là qu'ils firent l'amour. La première fois. _________________________________________ « Alors ? » Il la regarda incrédule, allongée dans son lit d'hôpital, la peau diaphane et une perfusion dans le bras. Étrangement ça lui donnait mal au cœur. « Alors quoi ? » « L'infirmière blonde peroxydée, elle est bonne ? C'est un bon coup ? » demanda-t-elle du tac au tac. « Je t'aime. » Elle écarquilla les yeux et un frisson lui parcouru le corps. Il ne pouvait pas lui dire ça, il mentait. Elle, elle l'aimait, pas lui. Il était même la seule personne qu'elle aimait, la seule personne qu'elle n'insultait pas à tord et à travers, et elle le détestait parce qu'elle l'aimait. « Menteur. » Il tourna la tête négativement. Il ne mentait. Il n'avait jamais été aussi sérieux de toute sa vie. Si elle savait … « Je vais le dire à ta femme. » « Elle t'assassinerait. » « Tu me défendrais. » « Évidemment, mais elle me tuerait. » « Et si tu la tuais ? » « Elle n'a rien fait. » « Tout bien réfléchis, je lui dirais rien. » « Sage décision. » Il l'embrassa.